>>Hanoï va construire 70 autres stations de surveillance de l'air cette année
>>Hanoï : de nouvelles stations de surveillance de la qualité de l’air
"Smog" au-dessus de la capitale Hanoï, le 17 mars. |
Photo : VNA/CVN |
Ces dernières années, la surveillance automatique de la qualité de l'air a commencé à attirer l'attention, aidant les autorités vietnamiennes à détecter les problèmes environnementaux et à proposer rapidement des solutions appropriées.
Cependant, les activités de surveillance n'ont pas encore répondu à la demande en matière de données car le nombre, l'échelle et la densité des stations sont encore modestes. Les stations sont réparties de manière inégale, ce qui rend incapable de refléter la qualité de l'air de manière suffisante et opportune.
En plus, l'application de technologies dans la surveillance est limitée, le fonctionnement des stations automatiques rencontre de nombreuses difficultés, ont-ils déclaré les participants.
Les experts ont souligné la nécessité d'augmenter le nombre des stations de surveillance automatique en vue de fournir des données suffisantes, opportunes et précises sur la qualité de l'air ; d’améliorer la capacité d'alerte et de prévision ; et de promouvoir l’intégration du Vietnam dans les activités de surveillance de l’environnement de la région et du monde.
Le ministre des Ressources naturelles et de l’Environnement, Trân Hông Hà, a déclaré que l'édification d'un réseau de surveillance automatique moderne et synchrone du niveau central comme local capable d’identifier les sources et les risques de pollution serait un pas important dans la surveillance environnementale.
La surveillance efficace des sources de pollution contribuera à l’élaboration des plans de prévention et de contrôle, a-t-il noté.
Outre des normes techniques, le ministre Trân Hông Hà a souligné que ces stations devraient être situées dans des endroits peu exposés aux sources de pollution afin d'avoir des indices stables et typiques représentant la qualité de l'air de chaque localité.