Hanoï compte de nombreux quartiers collectifs construits depuis les années 1960. Au fil du temps, ces immeubles se sont détériorés. Le remplacement des anciens quartiers collectifs par des buildings à plusieurs étages et le déplacement de leurs habitants entraînent involontairement la perte de précieux patrimoines. Martin Rama est peut-être l’un des rares étrangers à avoir choisi de rénover un appartement dans un ancien ensemble résidentiel plutôt que de vivre dans un logement moderne et confortable du centre-ville de la capitale.