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| Doàn Thi Hanh a eu une idée sur la cuisine vietnamienne faite d’ingrédients bio il y a trois ans. |
| Photo : baoquocte/CVN |
Le concours nommé "l'idée de start-up" est organisé par l'Adie - L'Association pour le droit à l'initiative économique. C’est une association de l’État français qui finance les activités des jeunes entreprises, leur donne des conseils et les aides lors de leur démarrage.
Dès son arrivée en France, Doàn Thi Hanh a compris qu’afin d’intégrer et d’aider au développement du pays hexagonal, elle devait apprendre et utiliser le français comme une langue maternelle. Pendant les deux premières années, la jeune fille a consacré tout son temps à améliorer sa connaissance de la langue. Et puis Hanh a continué ses études dans le secteur bancaire.
Diplômée en 2014, Hanh a immédiatement élaboré un projet nommé "Le nem et la cuisine vietnamienne avec des ingrédients 100% bio".
En février 2017, Hanh a surpassé les jeunes français et d’autres étrangers, et obtenu des prix, surtout des aides d'associations du gouvernement français pour continuer à réaliser son rêve de promouvoir la gastronomie du Vietnam auprès des amis internationaux.
En partageant son idée de start-up, Doàn Thi Hanh a déclaré : "En France, la nourriture et les ingrédients tels que les légumes, la viande... sont de très bonnes qualité et étroitement contrôlés".
La cuisine vietnamienne avec des plats populaires tels que nem, rouleaux de printemps, riz sauté, pho... est très aimée en France. "Alors, pourquoi ne pas intégrer dans la cuisine française les délices du Vietnam, de manière propre, sûre, avec 100% d'ingrédients bio ? D’autres idées du concours sont aussi bonnes mais pas nouvelles, et particulièrement, j’ai dejà commencé ce projet il y a 3 ans, c’est pourquoi c’est un projet solide depuis sa création", a déclaré Hanh.
Grâce à sa victoire au concours de "L'idée de start-up", cette jeune fille a été aidée pour acheter un camion - un petit magasin mobile avec des équipements tels que vitrine, réfrigérateur, cuisinière, caisse... pour qu’elle participe facilement aux marchés bio de plein air dans les villes voisines autour de chez elle.
Hanh a confié : "Ce qui me rend le plus heureux, c’est de continuer ma passion de cuisiner des plats vietnamiens en France, et en même temps que de promouvoir et de présenter la gastronomie vietnamienne aux français, et plus généralement, aux clients internationaux".
NDEL/VNA/CVN