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L'Australienne Samantha Kerr exulte après avoir inscrit un but contre la Norvège au Mondial-2019, le 22 juin à Nice. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
"La Nouvelle-Zélande et l'Australie peuvent travailler en équipe pour faire quelque chose d'unique et de classe mondiale, en créant aussi un héritage pour les femmes et pour le football dans nos pays, et en Asie et Océanie", a déclaré le ministre des Sports néo-zélandais Grant Robertson.
"Nous avons les infrastructures, l'expertise et l'enhousiasme pour co-organiser la Coupe du monde féminine de la FIFA 2023", a affirmé de son côté son homologue australien Richard Colbeck.
L'Argentine, le Brésil, la Colombie, le Japon, la République de Corée et l'Afrique du Sud sont aussi en lice pour organiser la compétition, selon la FIFA qui devrait faire son choix en mai prochain.
L'instance du football mondial souhaite élargir à 32 le nombre d'équipes participantes, contre 24 lors de la dernière édition en France cette année, alors que les équipes féminines suscitent un engouement croissant dans plusieurs pays.
L'organisation conjointe permettra de mieux faire face à cet élargissement, selon Australiens et Néo-Zélandais.