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Selon l’expert russe, les résultats encourageants au Vietnam sont dus à trois facteurs principaux : actions rapides et opportunes des autorités, comportement responsable de la population, informations transparentes.
Une affiche présentant des mesures préventives au Vietnam. |
Photo : VNA/CVN |
Précisant qu’au 23 avril, le Vietnam avait signalé 268 cas de contamination au coronavirus, aucun décès, Maxim Syunnerberg a rappelé les réactions rapides du gouvernement vietnamien, dont la création d’une cellule de crise un jour après la confirmation du premier cas d’infection, la fermeture des écoles en février, la suspension de vols depuis mi-mars, le port de masques obligatoire dans les lieux publics depuis le 16 mars.
Selon lui, les médias vietnamiens ont également un rôle important en fournissant rapidement des informations sur la situation épidémique dans le monde et dans le pays. Le spécialiste russe a particulièrement insisté sur le comportement responsable des Vietnamiens face à l’épidémie, avant d’apprécier le développement de kits de test de dépistage du virus au Vietnam. Ces kits et d’autres équipements médicaux ont récemment été exportés à l’étranger.
Maxim Syunnerberg a indiqué que le Vietnam aurait la chance de devenir l’un des pays ayant les indices liés au COVID-19 les plus bas dans le monde et de traverser la pandémie avec les moindres impacts.
VNA/CVN