Ce séminaire, qui doit avoir lieu le 12 à Hanoi, le 17 à Nha Trang (province de Khanh Hoà, Centre) puis enfin le 19 à Hô Chi Minh-Ville, est une initiative d’APB Environnement, une entreprise française présente sur le marché des biotechnologies depuis près de 20 années. Il portera sur les derniers résultats de la recherche en Europe dans la gestion des déchets hospitaliers avec au programme neuf interventions de spécialistes vietnamiens et français dans ce domaine.
Point de presse le 9 avril à Hanoi. Photo : Tùng Chi/CVN |
Selon Marc Cagnard, directeur d’Ubifrance Vietnam, la gestion de ces déchets spéciaux est un problème préoccupant au Vietnam comme dans beaucoup d’autres pays. En effet, compte tenu de leur nature, les technologies employées pour leur traitement ont d’autant plus d’incidence sur l’environnement comme la santé publique.
Les autorités vietnamiennes s’intéressent bien entendu à cette problématique et ont déjà pris des mesures. Les participants attendus à ce séminaire sont donc issus du public comme du privé, en ce compris des représentants d’autorités nationales comme locales, outre bien sûr les responsables de nombreux hôpitaux quotidiennement confrontés à la gestion de leurs déchets. Tous sont concernés par une politique responsable et soucieux de trouver une solution préservant l’environnement.
Dirigé par des scientifiques, ce séminaire soulignera l’importance de la microbiologie dans le processus de traitement des eaux, dont ils rappelleront qu’ils ont commencé à être mis au point et appliqués au début du 20e siècle par des pionniers français tels que Louis Pasteur, Albert Calmette, ou encore Alexandre Yersin au sein des Instituts Pasteur du Vietnam. Dans la droite ligne de ces illustres, deux chercheurs de l’Institut Pasteur de Paris feront part de leurs travaux et de leurs formidables espoirs pour l’avenir.
APB Environnement, société spécialisée dans la conception et l'assistance technique au traitement de l'eau par voie microbiologique, présentera des applications pratiques mises en œuvre par elle-même et ses partenaires EAU PURE, ECODAS et ISEA. Fournissant une réponse naturelle aux phénomènes de pollution générés par les rejets collectifs ou industriels, la mise en œuvre des solutions préconisées par APB Environnement sécurise le rejet qu’il soit destiné aux réseaux ou à la nature.
En prenant en compte tous les déchets générés par une activité de soins, qu’ils soient solides ou liquides, contaminés ou non, APB Environnement soumettra une solution en adéquation avec une politique de développement durable, correspondant souvent à une réduction de l’empreinte carbone car elle s’affranchit de la collecte et du transport des déchets, et demeurant constamment dans la perspective de préserver la santé des citoyens par un environnement respecté.
Tùng Chi/CVN