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Le président du PSG, Nasser Al-Khelaïfi, salue les enfants au Parc des Princes, lors de la réception de Nancy, le 4 mars 2017. |
Le président du PSG, Nasser Al-Khelaïfi, salue les enfants au Parc des Princes, lors de la réception de Nancy, le 4 mars 2017. |
"Unai a des qualités en lesquelles nous croyons. Il a mon soutien plein et entier", a assuré Al-Khelaïfi. "Avec lui, nous allons parler des changements qui seront nécessaires à l'intersaison", a-t-il ajouté.
Car le président parisien le promet: "nous allons travailler pour envoyer dès cet été des signaux forts qui montreront à quel point nos ambitions sont grandes".
"Nous n'avons pas été à la hauteur de ce qui devait être l'un des moments forts de notre projet", a admis le président du PSG, qui a confié ressentir "un mélange de tristesse et de colère".
Malgré tout, convaincu que Paris reste une grande équipe capable d'attirer les plus grands joueurs du monde, Al-Khelaïfi a souligné que Paris bénéficiait toujours d'un "stade magnifique avec une ambiance de plus en plus belle." "Nous avons l'ambition de nous doter dans les prochaines années du meilleur centre d'entraînement du monde. Un grand joueur sera toujours sensible à tout cela", a-t-il assuré.
Interrogé sur les erreurs d'arbitrage, il a affirmé que "l'issue de ce match aurait pu être différente avec un arbitrage plus clairvoyant". "Tout le monde a vu au moins le penalty sur Di Maria qui aurait pu nous permettre de revenir à 3-2 et sans doute de tuer tout suspense. Sans oublier qu'il n'y avait pas penalty sur Suarez en fin de match...", a-t-il déploré.