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>> Réponse au vieillissement démografique rapide au Vietnam
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| Environ 27% des femmes de plus de 50 ans souffraient d'ostéoporose. |
L'information est le résultat d’une étude sur l'ostéoporose menée sur 1.421 femmes et 652 hommes de plus de 50 ans vivant à Hô Chi Minh-Ville par le médecin Doàn Công Minh, de l’Université de médecine Pham Ngoc Thach. Ses résultats ont montré que 27% des femmes et 10% des hommes de plus de 50 ans souffraient d'ostéoporose et près de 50% des femmes et 30% des hommes avaient besoin d'un traitement contre l'ostéoporose selon les normes de l’Association d’ostéoporose américaine. Cependant, dans les faits, de nombreuses personnes ne reçoivent pas le traitement contre l'ostéoporose dont ils ont besoin.
Selon le médecin Doàn Công Minh, l'ostéoporose présente un risque d'invalidité et éventuellement de décès. La recherche montre également que plus on est âgé, plus on est susceptible de souffrir d'ostéoporose… Plus de 500 millions de personnes dans le monde souffrent d'ostéoporose.
Au Vietnam, ce nombre est d'environ 3,6 millions de personnes. On prévoit que d'ici 2030, il y aura plus de 4,5 millions de personnes atteintes d'ostéoporose au Vietnam, et les femmes représenteront 70 à 80% des cas.
Le vieillissement de la population est la principale cause de l'augmentation de l'ostéoporose et le Vietnam est un pays dont le vieillissement de la population est rapide. Par conséquent, l'ostéoporose augmente rapidement dans la communauté et constitue un lourd fardeau pour le système de santé vietnamien, aujourd'hui et dans un avenir proche.
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| D'ici 2030, il y aura plus de 4,5 millions de personnes atteintes de l'ostéoporose au Vietnam. |
En plus du rapport "Déterminer la proportion de personnes de plus de 50 ans qui ont besoin d'un traitement contre l'ostéoporose à Hô Chi Minh-Ville", les conférenciers ont présenté un rapport d'enquête sur la résistance aux antibiotiques des bactéries pathogènes courantes menée par le Dr. Nguyên Minh Hà, chef du département de laboratoire de l’hôpital Nguyên Tri Phuong et ses collègues.
Les résultats ont montré qu'à l'heure actuelle, les bactéries Gram-négatives sont les agents pathogènes les plus courants et que seuls quelques antibiotiques sont efficaces. Par conséquent, une stratégie de contrôle et d'utilisation rationnelle des antibiotiques basée sur les résultats de l'antibiogramme est essentielle pour limiter la résistance aux antibiotiques. Parallèlement à cela, les mesures de prévention des infections hospitalières telles que l'hygiène environnementale et celui du personnel soignant sont des solutions de prévention simples et efficaces.
Texte et photos : Quang Châu/CVN
