>>Le président américain Donald Trump au défi d'un discours face au monde
Le président américain Donald Trump sur le tarmac de l'aéroport de Morristown, le 15 septembre dans le New Jersey. |
Les discours pour l'Assemblée générale annuelle de l'ONU commenceront mardi 19 septembre avec notamment ceux des dirigeants américain, français, marocain, turc ou israélien. Les crises dans le monde (République démocratique populaire de Corée) comme de grandes thématiques (climat) seront au centre des échanges.
Mais le ballet diplomatique débute lundi 18 septembre à 14h00 GMT par une cérémonie présidée par Donald Trump, au cours de laquelle environ 130 pays endosseront une déclaration politique non contraignante en dix points poussant l'ONU à se réformer. Trois interventions sont prévues, du président américain, de son ambassadrice à l'ONU, Nikki Haley, et du secrétaire général des Nations unies, le Portugais Antonio Guterres.
Ce dernier "n'a pas eu le choix, il était obligé d'y aller", commente un diplomate sous couvert d'anonymat. La France a renâclé jusqu'à dimanche 17 septembre pour finalement décider de signer le texte, n'ayant pas apprécié, selon plusieurs de ses partenaires, la manière dont a été conduite l'initiative américaine. La position finale de la Chine et de la Russie, autres membres permanents du Conseil de sécurité, reste incertaine.
AFP/VNA/CVN