>>Hanoi à la recherche d’une vie en vert
>>Hanoi connaît "une transformation sans précédent"
>>Hanoi : plus de 85% de la population suburbaine bénéficie d'eau de ville
La rue Ta Hiên, dans le Vieux quartier de Hanoï. |
Photo: Anh Tuân/CVN |
Une conférence a été organisée le 25 décembre à Hanoï, sous la houlette du vice-président du Comité populaire municipal Ngô Van Quy, pour examiner les performances de la ville en matière de population et de planning familial et de prévention des maladies en 2018, ainsi que les plans pour l’année prochaine.
Cette année, Hanoï a enregistré une baisse du taux de natalité et du nombre des troisièmes enfants et une augmentation du taux de nouveau-nés et de femmes enceintes soumis au dépistage prénatal et néonatal. Le sexe-ratio à la naissance à Hanoï est passé de 114 garçons pour 100 filles en 2017 à 113 garçons pour 100 filles en 2018, a rapporté l’Office de la population et du planning familial de Hanoï.
Le Département de la santé de Hanoï a annoncé qu’il n’y avait aucun cas de maladies transmissibles dangereuses en ville cette année, alors que le nombre de cas de dengue a chuté de près de 90% par rapport à l’année dernière.
En 2018, plus de 2.100 personnes ont contracté la maladie main-pied-bouche, 78 ont eu la coqueluche, 13 ont été infectées par streptococcus suis et 10 autres d’encéphalite japonaise, mais aucun décès n’est à déplorer.
S’adressant à la conférence, le vice-président du Comité populaire municipal Ngô Van Quy a souligné certains problèmes majeurs dans la prévention des maladies au niveau local, dont des systèmes d’alerte précoce et de communication médiocres.
Le responsable s’est également préoccupé par le fait que de nombreux parents ont négligé ou retardé la vaccination de leurs enfants. Il a exhorté le secteur de la santé à s’attaquer à ces problèmes en 2019.
VNA/CVN