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| Photo prise le 28 mai montrant une partie du camp de réfugiés d'Al-Hol, dans le Nord-Est de la Syrie. |
| Photo : Xinhua/VNA/CVN |
Hossein Amir-Abdollahian a fait ces remarques à la presse à New York vendredi 22 septembre, tout en s'exprimant sur sa rencontre plus tôt dans la journée avec les chefs des diplomaties russe, Sergueï Lavrov, et turque, Hakan Fidan, et l'envoyé spécial de l'ONU pour la Syrie, Geir O. Pedersen, en marge de la 78e session de l'Assemblée générale de l'ONU, a indiqué IRNA.
La rencontre s'est tenue dans le cadre du processus d'Astana, lancé en 2017 à l'initiative de l'Iran, de la Russie et de la Turquie.
Le ministre iranien a dit que la rencontre avait mis en évidence les problèmes économiques, les sanctions occidentales et le terrorisme en tant que défis fondamentaux en Syrie.
Cette rencontre a également permis aux participants d'exprimer leurs préoccupations concernant la situation humanitaire en Syrie et a réitéré que les sanctions unilatérales contre le pays, qui violent le droit international et humanitaire et la Charte des Nations unies, doivent être entièrement levées, a-t-il noté.
La rencontre a mis en évidence la responsabilité de la communauté internationale dans la réduction des souffrances du peuple syrien, a-t-il poursuivi, tout en exhortant l'ONU à réfléchir à un plan et à fournir un soutien financier pour créer les conditions nécessaires au retour des réfugiés syriens dans leur patrie.
Le chef de la diplomatie iranienne a noté que des solutions ont également été proposées lors de la rencontre pour réduire les malentendus et régler les problèmes frontaliers entre la Syrie et la Turquie.
Au cours de la rencontre, les ministres des Affaires étrangères turc et russe et l'envoyé de l'ONU ont également fait part de leurs points de vue sur la résolution des problèmes de la Syrie, selon IRNA.
Xinhua/VNA/CVN
