>>Mise en œuvre du Pacte mondial pour des migrations sûres
>>Conséquences du labeur clandestin
Le vice-président du Comité populaire de Hô Chi Minh-Ville, Ngô Minh Châu, s'exprime lors de l'événement, le 4 décembre. |
Photo : Xuân Khu/VNA/CVN |
Ngô Minh Châu, vice-président du Comité populaire de Hô Chi Minh-Ville, a souligné que pendant des années, les travailleurs du Vietnam en général, et de la mégapole économique du Sud en particulier, ont contribué au développement de nombreux pays à travers différentes formes de migration. À cet égard, il a affirmé qu'un processus de migration sûre, ordonnée et régulière aidera les Vietnamiens à utiliser leurs capacités dans toutes les régions du monde, tandis que les étrangers ayant une entrée légale trouveront leur "deuxième maison au Vietnam et à Hô Chi Minh-Ville".
Le vice-ministre vietnamien des Affaires étrangères Tô Anh Dung a souligné qu'après avoir approuvé le GCM en décembre 2018, le Vietnam a promulgué un plan pour sa mise en œuvre en mars dernier, qui prend également en compte les objectifs d'égalité des sexes et de développement durable, l'établissement de la base de données sur les migrations et respect des engagements internationaux concernant les travailleurs migrants. Le plan constitue une étape importante de Hanoï pour promouvoir la coopération internationale sur les questions de migration et manifeste son engagement à renforcer un environnement sûr et transparent pour les migrants, ainsi qu'au développement durable, a-t-il déclaré.
Park Mi-hyung, représentante en chef de l'Organisation internationale pour les migrations au Vietnam, a reconnu les progrès obtenus par le pays indochinois dans le déploiement du GCM et a souligné la nécessité de renforcer la coopération internationale dans la gestion des flux migratoires, en particulier dans le monde post-COVID-19, car ces personnes sont le groupe le plus vulnérable à l'épidémie.
VNA/CVN