>>Des entreprises suisses intéressées par le développement urbain intelligent
>>La vice-présidente vietnamienne rencontre le président suisse
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| Le Premier ministre Nguyên Xuân Phuc (droite) accueille le membre du Conseil fédéral suisse, Guy Parmelin, le 10 juillet à Hanoï. |
| Photo: Hoàng Nhât/VNA/CVN |
Lors d'une rencontre à Hanoï avec le membre du Conseil fédéral suisse et chef du Département fédéral de l'économie, de la formation et de la recherche, Guy Parmelin, le Premier ministre a également remercié la Suisse pour son soutien à la candidature du Vietnam au statut de membre non permanent de l'ONU pour le mandat 2020-2021.
Le responsable suisse a hautement apprécié les excellents résultats des relations bilatérales de ces dernières années et a estimé qu’il restait de la place pour un développement plus vigoureux. Il a également souligné que de nombreuses entreprises suisses avaient investi au Vietnam et créé plus de 20.000 emplois pour les travailleurs locaux.
S'agissant des négociations sur l'accord de libre-échange (ALE) entre le Vietnam et l'Association européenne de libre-échange (AELE), il a exprimé l'espoir que les deux parties pourront bientôt signer le document.
En réponse, le Premier ministre Nguyên Xuân Phuc a hautement apprécié les efforts déployés par les deux parties pour régler les questions en suspens et a demandé à l'AELE d'adopter une approche plus pratique. Il a également demandé au responsable suisse de soutenir et d'accroître davantage les investissements de son pays au Vietnam.
Le gouvernement vietnamien s’efforce d’améliorer l’investissement et le climat des affaires afin de faciliter les opérations à long terme d’entreprises étrangères, y compris suisses, a souligné le Premier ministre Nguyên Xuân Phuc et a remercié la Suisse d’avoir fourni une aide publique au développement dans divers domaines.
Le chef du gouvernement a également salué les contributions actives de la Suisse au maintien de la paix, de la sécurité et du développement dans le monde, en particulier son soutien constant au Vietnam et à la juste position de l'ASEAN concernant le règlement pacifique des différends en mer Orientale, sur la base du droit international, en particulier la Convention des Nations unies sur le droit de la mer de 1982 (UNCLOS 1982) .