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Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Lê Hai Binh. |
Photo : An Dang/VNA/CVN |
La décision du président américain Barack Obama de retirer Cuba de la liste noire a été soumise au Congrès, qui dispose désormais d'un délai de 45 jours pour l'examiner. Le porte-parole Lê Hai Binh a également souligné que cette décision marquait une étape-clé vers la normalisation des relations entre les deux pays.
Cuba figure sur cette liste au côté de la Syrie, du Soudan et de l’Iran. L’administration Reagan l’y avait placée pour son soutien aux séparatistes basques de l’ETA et aux rebelles Farc en Colombie. Si l’île en était retirée, elle pourrait à nouveau prétendre à des financements d’organismes internationaux, à l’ouverture d’une ambassade aux États-Unis ou encore à l’accès au système bancaire américain. Cela pourrait surtout ouvrir la voie à une éventuelle levée de l’embargo économique qui frappe Cuba depuis 1962.
VNA/CVN