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Le tsunami au Japon, il y a cinq ans. |
Photo : AFP/VNA//CVN |
La conférence sera organisée sous les auspices des autorités de Kochi et du Bureau des Nations Unies pour la réduction des risques de catastrophe (UNISDR) au Japon.
La délégation vietnamienne comprendra sept lycéens représentatifs du Lycée de Câu Giây à Hanoï.
Cet événement a pour but d'éduquer la jeune génération - de possibles futurs dirigeants - au regard des catastrophes naturelles comme les séismes et les tsunamis, à donner les mesures d'intervention et de protection de la population et des biens, ainsi que celles d'atténuation des dégâts liés aux catastrophes naturelles… tout en soulignant l'esprit de solidarité internationale et l'aide mutuelle dans la riposte aux catastrophes naturelles.
Le 5 novembre a été retenu en décembre 2015 en tant que Journée mondiale de sensibilisation aux tsunamis. Initiative du Japon soutenue par l’UNESCO, cette journée a pour but de renforcer la prise de conscience internationale de la nécessité d'une résilience et d'une vigilance aux grandes catastrophes dont les impacts peuvent être ressentis à travers le monde en termes de perte de vie et de pertes économiques.
La date de la célébration annuelle n’a pas été choisie au hasard, pour l’anecdote, c’est en l’honneur de l’histoire japonaise, l'«Inamura-no-hi», signifiant «brûler les gerbes de riz». En effet au cours d’un tremblement de terre le 5 novembre 1854, un agriculteur a vu la marée reculer, signe d’un tsunami imminent. Il a mis le feu à toute sa récolte pour avertir les villageois, qui ont fui vers les hautes terres. Ensuite, il a construit un remblai et a planté des arbres comme tampon contre les vagues futures.
VNA/CVN