>>Ouverture de la 58e session du Comité permanent de l'Assemblée nationale
>>Le Comité permanent de l’Assemblée nationale va se réunir le 12 juillet
Le président de l’Assemblée nationale Vuong Dinh Huê s'exprime lors de l'événement, le 13 juillet à Hanoï. |
Photo : VNA/CVN |
S’exprimant lors de la 58e session du Comité permanent de l’Assemblée nationale, le président de l’Assemblée nationale Vuong Dinh Huê a souligné la nécessité d’institutionnaliser rapidement les lignes directrices et orientations prévues par la résolution du XIIIe Congrès national du Parti.
Une tendance au rejet de la faute sur les mécanismes existants est forte, il faut cette fois procéder proactivement à la révision des textes pour en identifier les entraves et y remédier, a-t-il déclaré.
L’heure n’est plus donc seulement à la rhétorique, mais également à l’action, alors que les législateurs se sont penchés sur les plans de développement socio-économique 2021-2025, de finances 2021-2025, d’emprunt et de remboursement de la dette publique 2021-2025, d’investissements publics à moyen terme 2021-2025.
Le vice-président permanent de l’Assemblée nationale Trân Thanh Mân a constaté les bons chiffres de l’économie vietnamienne durant la période 2016-2020, avant de mettre en garde contre les difficultés qui ne sont pas des moindres pour le pays.
Il y a encore d’importants progrès à faire pour consolider les fondamentaux macroéconomiques et assurer la durabilité de la croissance économique, a-t-il estimé tout en évoquant les conséquences du COVID-19, du changement climaque, des catastrophes naturelles et de l’intrusion saline.
En 2020, plus de 100.000 entreprises se sont retirées du marché. Leur désengagement mérite une réflexion approfondie pour clarifier les impacts du COVID-19 sur les entreprises et élaborer des orientations des finances publiques, a-t-il suggéré.
La présidente de la Commission juridique de l’Assemblée nationale Lê Thi Nga a elle relevé que les rapports socio-économiques étaient enclins à se concentrer sur les aspects économiques, d’où la nécessité d’étoffer les contenus relatifs à la culture, à la prévention et à la lutte contre la criminalité et la corruption.
Chaque fois qu’une ligne directrice est promulguée, il faudrait la mettre au banc d’essai dans certains endroits, faire le bilan de l’expérimentation avant d’étendre le champ d’application, a-t-elle proposé.
VNA/CVN