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Dans la Réserve naturelle Ishaqbini Hirola à Garissa, au Kenya. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
Jackson Kiplagat, directeur des programmes de préservation du WWF Kenya, a fait remarquer lors d'un forum à Nairobi, capitale du Kenya, que ce pays avait mis en oeuvre un certain nombre de réformes politiques et juridiques imposant des peines plus lourdes sur les crimes contre les espèces sauvages.
"On observe aussi une meilleure coordination entre les agences gouvernementales dans les enquêtes et les poursuites contre le trafic de produits animaux", a ajouté M. Kiplagat.
Selon lui, le Kenya a enregistré une augmentation de sa population de rhinocéros et d'éléphants, grâce à la mise en application d'une politique foncière adéquate.
"Le Kenya a également obtenu des progrès rapides dans l'établissement de réserves pour étendre les terrains disponibles pour ses espèces en danger critique d'extinction", a-t-il indiqué.
Le Kenya a par ailleurs établi des partenariats avec des donateurs pour mettre sur pied des laboratoires médico-légaux qui facilitent les enquêtes sur les crimes contre la faune sauvage et intensifié sa surveillance sur le commerce illicite de produits animaux à ses postes-frontières, a-t-il ajouté.
Xinhua/VNA/CVN