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| Recherche des survivants sous les décombres à Gaza après les frappes aériennes israéliennes, le 26 octobre. |
| Photo : Xinhua/VNA/CVN |
"Si Israël veut résoudre le problème en une seule fois, nous y sommes prêts. S'il veut diviser le processus en plusieurs étapes, nous y sommes également prêts", a déclaré dans un discours télévisé Abou Obeida, porte-parole des Brigades Al-Qassam.
Il a également affirmé que des "contacts" avaient été pris pour tenter de résoudre la question des otages, mais qu'Israël n'avait pas fait preuve de "réel sérieux". Il a ajouté que la seule condition pour libérer les otages détenus par le groupe était que l'Etat hébreu libère tous les prisonniers palestiniens.
Dans le même temps, en réponse aux informations sur un éventuel accord de libération d'otages, Daniel Hagari, porte-parole des Forces de défense israéliennes, a qualifié vendredi 27 octobre ces informations de "terreur psychologique employée par le Hamas". Selon l'armée israélienne, 229 otages au total sont actuellement détenus à Gaza, pour la plupart des civils.
De leur côté, les Brigades avaient indiqué jeudi qu'au moins 50 otages avaient été tués par les bombardements israéliens. Parmi ces otages, quatre ont été libérés par le Hamas.
Le 7 octobre, les Brigades Al-Qassam ont lancé une attaque surprise contre Israël en tirant des milliers de roquettes sur des sites israéliens et en infiltrant des villes proches de la frontière avec Gaza, tuant au moins 1.400 personnes en Israël et prenant de nombreux otages à Gaza.
Israël a riposté par des frappes aériennes massives sur Gaza, faisant plus de 7.700 morts dans l'enclave côtière.
Xinhua/VNA/CVN
