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Capture d'écran de la réunion de l'ONU sur les violences sexuelles liées aux conflits. |
L’ambassadeur du Vietnam, Dang Dinh Quy, chef de la mission vietnamienne auprès de l’ONU, a exprimé son inquiétude face à cette problématique et ses impacts sur les victimes, notamment les femmes et les enfants. Il importe d’adopter une approche permettant de régler radicalement ce problème en plaçant les victimes au centre, a souligné le diplomate qui a aussi proposé de promouvoir le rôle et la participation de la femme aux processus de paix et à la prise de décisions.
Lors du débat, Mme Pramila Patten, représentante spéciale du secrétaire général chargée de la question des violences sexuelles commises en période de conflit, a déclaré que cette réunion a pour ambition de trouver des moyens efficaces de transformer les engagements en réalité et les résolutions en résultats. Nous nous réunissons dans l’esprit de poursuivre une approche centrée sur les survivants, qui garantisse que les survivantes de violences sexuelles en temps de guerre ne seront pas oubliées, même au milieu d’une pandémie sans précédent qui attire l’attention du monde".
Pour Mme Patten, la violence sexuelle liée aux conflits est un crime qui fait reculer la cause de l’égalité des sexes et la cause de la paix. Ces deux questions sont selon elle imbriquées, ce qui signifie qu’une plus grande égalité entre les sexes doit entraîner une plus grande stabilité sociale, et vice-versa.
VNA/CVN