>>Le président Truong Tân Sang attendu en Indonésie
Le chef de l'État vietnamien est accompagné par le vice-président de l'Assemblée nationale, Uông Chu Luu ; le responsable du Bureau présidentiel, Dào Viêt Trung ; les vice-ministres du Plan et de l'Investissement, Nguyên Chi Dung, des Affaires étrangères Hà Kim Ngoc, de l'Agriculture et du Développement rural, Trân Thanh Nam, de l'Industrie et du Commerce, Nguyên Câm Tu ; pour ne citer qu'eux.
Placé sous le thème «Renforcer la coopération Sud-Sud pour la paix et la prospérité mondiales», le Sommet Asie-Afrique aura lieu à Jakarta, en Indonésie. En participant à ce Sommet, le Vietnam souhaite défendre, avec les pays asiatiques et africains, les principes de Bandung tout comme le droit international. Hanoi veut intensifier la coopération avec les pays asiatiques et africains, avec l’Indonésie notamment.
Trente-trois chefs d'État et représentants de 77 pays avaient confirmé leur participation au Sommet Asie-Afrique et à la cérémonie commémorative du 60e anniversaire de la Conférence de Bandung ou Conférence Asie-Afrique.
Les populations des deux continents souhaitent voir leurs pays se solidariser pour réduire la faim comme la pauvreté, régler les conflits et les combats, et prévenir la criminalité transnationale. La commémoration du 60e anniversaire de la Conférence de Bandung contribuera à promouvoir la coopération entre les pays d'Asie et d'Afrique pour le développement national de chacun, mais aussi pour la prospérité des deux régions et du monde.
Il y a 60 ans, en avril 1955, la ville de Bandung a accueilli la Conférence afro-asiatique avec la participation de 29 pays asiatiques et africains. Convoquée par les gouvernements de Birmanie (Myanmar), de Ceylan (aujourd'hui Sri Lanka), de l'Indonésie et du Pakistan, la Conférence de Bandung était placée sous le signe de l'unité. Elle reste le symbole d'une prise de conscience de la part des peuples asiatiques et africains qui ont affirmé leur volonté commune d'indépendance et de lutte contre le colonialisme ou le néo-colonialisme. Elle marquait l'entrée en scène du tiers-monde et préludait à la formation du Mouvement des non-alignés.
Le président de la République, Truong Tân Sang, participera du 22 au 24 avril au Sommet afro-asiatique tenu à Jakarta (Indonésie). Photo : Nguyên Khang/VNA/CVN |
Le chef de l'État vietnamien est accompagné par le vice-président de l'Assemblée nationale, Uông Chu Luu ; le responsable du Bureau présidentiel, Dào Viêt Trung ; les vice-ministres du Plan et de l'Investissement, Nguyên Chi Dung, des Affaires étrangères Hà Kim Ngoc, de l'Agriculture et du Développement rural, Trân Thanh Nam, de l'Industrie et du Commerce, Nguyên Câm Tu ; pour ne citer qu'eux.
Placé sous le thème «Renforcer la coopération Sud-Sud pour la paix et la prospérité mondiales», le Sommet Asie-Afrique aura lieu à Jakarta, en Indonésie. En participant à ce Sommet, le Vietnam souhaite défendre, avec les pays asiatiques et africains, les principes de Bandung tout comme le droit international. Hanoi veut intensifier la coopération avec les pays asiatiques et africains, avec l’Indonésie notamment.
Trente-trois chefs d'État et représentants de 77 pays avaient confirmé leur participation au Sommet Asie-Afrique et à la cérémonie commémorative du 60e anniversaire de la Conférence de Bandung ou Conférence Asie-Afrique.
Les populations des deux continents souhaitent voir leurs pays se solidariser pour réduire la faim comme la pauvreté, régler les conflits et les combats, et prévenir la criminalité transnationale. La commémoration du 60e anniversaire de la Conférence de Bandung contribuera à promouvoir la coopération entre les pays d'Asie et d'Afrique pour le développement national de chacun, mais aussi pour la prospérité des deux régions et du monde.
Il y a 60 ans, en avril 1955, la ville de Bandung a accueilli la Conférence afro-asiatique avec la participation de 29 pays asiatiques et africains. Convoquée par les gouvernements de Birmanie (Myanmar), de Ceylan (aujourd'hui Sri Lanka), de l'Indonésie et du Pakistan, la Conférence de Bandung était placée sous le signe de l'unité. Elle reste le symbole d'une prise de conscience de la part des peuples asiatiques et africains qui ont affirmé leur volonté commune d'indépendance et de lutte contre le colonialisme ou le néo-colonialisme. Elle marquait l'entrée en scène du tiers-monde et préludait à la formation du Mouvement des non-alignés.
VNA/CVN