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Le président américain Donald Trump (gauche) et le président de la RPDC, Kim Jong Un, le 27 février à Hanoï. |
Paik Hak Soon, président de l'Institut Sejong de la République de Corée, a déclaré que même si les deux parties n’avaient pas signé d'accord, la rencontre des hauts dirigeants des deux pays pour réaffirmer des problèmes en suspens était utile pour faire avancer la dénucléarisation et l’allégement des sanctions dans l'avenir.
De ce point de vue, il s’agit d’un processus inévitable, a-t-il déclaré, ajoutant que le point de blocage était la feuille de route de la dénucléarisation dans la péninsule coréenne.
Selon David Kim du Stimson Center, il ne s'agit que du début d'un conte déplié.
Tant que les deux dirigeants resteront attachés à leur relation, il y aura davantage de résultats positifs dans l'avenir, a-t-il déclaré.
Christopher Green, haut conseiller à l'International Crisis Group, a déclaré que l'échec dans la conclusion d'un accord à Hanoï ne mettait pas fin au processus de dialogue, exprimant son espoir qu'après une période de calme relatif, les discussions reprendraient à un niveau inférieur.
Koh Yu Hwan, un professeur spécialisé dans les études sur la RPDC à l'Université Dongguk de la République de Corée, a suggéré que les deux parties poursuivent leurs négociations en vue de combler les écarts, et que d'autres pays concernés, notamment la République de Corée et la Chine, participent au processus.
VNA/CVN