>>L'Australie appelle les entreprises à saisir les opportunités d'investissement de l'ASEAN
>>L’ASEAN et l’Australie soulignent leur coopération anticoronavirus
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| Le personnel médical prélève des échantillons pour tester le COVID-19 à Jakarta, en Indonésie. |
| Photo : Xinhua/VNA/CVN |
L'enveloppe de 60 millions d'USD complète les fonds déjà pivotés dans le cadre du programme d’aide existant de l’Australie. Elle vise à aider les priorités les plus urgentes de la région en réponse au COVID-19.
En matière de sécurité sanitaire, un nouveau partenariat sera établi pour aider la sous-région du Mékong à améliorer la détection précoce du COVID-19 en utilisant la technologie australienne pour surveiller les eaux usées.
De nouvelles recherches financées dans le cadre de Partenariats pour le relèvement aideront à éclairer la manière dont les plans de relèvement post-COVID-19 de l'ASEAN soutiennent les besoins spécifiques des femmes et des filles. L'Australie étendra son financement pour l'initiative Droits des personnes handicapées dans l'ASEAN (DRiA) et soutiendra l'élaboration du plan directeur d'habilitation de l'ASEAN 2025. Ces mesures donneront un coup de pouce à une approche inclusive du relèvement régional, dont pour les personnes et les communautés vulnérables.
Un nouvel investissement dans l’intégration économique et le numérique de l’ASEAN, qui succède au programme phare de coopération économique de l’Australie avec l’ASEAN (AADCPII), soutiendra la reprise économique grâce à la coopération en matière de connectivité, de transformation numérique, de réaction à la quatrième révolution industrielle et de développement du secteur privé.
En plus de l'engagement du pays à soutenir les réponses sanitaires conduites par l'ASEAN lors de la réunion spéciale des ministres des Affaires étrangères de l'ASEAN-Australie le 30 juin, l'Australie contribuera un million d’USD au Fonds de réponse au COVID-19 de l'ASEAN, pour aider l'ASEAN à acheter des fournitures et équipements médicaux, soutenir la coopération en matière de recherche et renforcer les capacités des professionnels de la santé de première ligne.