>>Priorité à la création de la Communauté de l'ASEAN
"Bien que nos économies soient des plaques tournantes commerciales durant des siècles, nous créons aujourd’hui une union économique sans pareille depuis l’époque de l’empire", a-t-il déclaré lors d’un sommet des dirigeants de l’ASEAN.
Le chef du gouvernement malaysien a affirmé que la priorité de l’ASEAN était d’assurer que l’intégration mène à la création et à la distribution équitable des richesses, de même qu’à approfondir l’intégration et l’inclusion financière.
"Nous devons nous assurer que tous les secteurs de nos économies sont pleinement engagés dans la communauté de l’ASEAN", a-t-il déclaré.
Il a souligné que l’établissement de l’ASEAN en tant que marché et base de production devrait aussi débloquer son potentiel afin de concurrencer les plus grandes économies mondiales.
Selon le dirigeant malaysien, une ASEAN économiquement intégrée bénéficie à ses dix États membres et leur accorde une plus grande liberté de circulation de produits, de services, de force de travail qualifiée et de capital.
"Harmoniser et standardiser le commerce et les formalités douanières, de même que les processus et les procédures, réduira les coûts de transaction, rendant l’ASEAN encore plus attirante en tant que lieu d’investissement, et améliorera sa compétitivité à l'export", a-t-il ajouté.
Il a encore indiqué que "libéraliser le secteur des services financiers alors que l’on assure des investissements et une durabilité responsables ne fera qu’améliorer encore plus la confiance des investisseurs, ainsi que la stabilité et la croissance de la région".
Fondée en 1967, l’ASEAN (Association des nations de l’Asie du Sud-Est) regroupe le Bruneï, le Cambodge, l’Indonésie, le Laos, la Malaisie, le Myanmar, les Philippines, Singapour, la Thaïlande et le Vietnam.
Le Premier ministre malaisien Najib Razak. Photo : AFP/VNA/CVN |
Le chef du gouvernement malaysien a affirmé que la priorité de l’ASEAN était d’assurer que l’intégration mène à la création et à la distribution équitable des richesses, de même qu’à approfondir l’intégration et l’inclusion financière.
"Nous devons nous assurer que tous les secteurs de nos économies sont pleinement engagés dans la communauté de l’ASEAN", a-t-il déclaré.
Il a souligné que l’établissement de l’ASEAN en tant que marché et base de production devrait aussi débloquer son potentiel afin de concurrencer les plus grandes économies mondiales.
Selon le dirigeant malaysien, une ASEAN économiquement intégrée bénéficie à ses dix États membres et leur accorde une plus grande liberté de circulation de produits, de services, de force de travail qualifiée et de capital.
"Harmoniser et standardiser le commerce et les formalités douanières, de même que les processus et les procédures, réduira les coûts de transaction, rendant l’ASEAN encore plus attirante en tant que lieu d’investissement, et améliorera sa compétitivité à l'export", a-t-il ajouté.
Il a encore indiqué que "libéraliser le secteur des services financiers alors que l’on assure des investissements et une durabilité responsables ne fera qu’améliorer encore plus la confiance des investisseurs, ainsi que la stabilité et la croissance de la région".
Fondée en 1967, l’ASEAN (Association des nations de l’Asie du Sud-Est) regroupe le Bruneï, le Cambodge, l’Indonésie, le Laos, la Malaisie, le Myanmar, les Philippines, Singapour, la Thaïlande et le Vietnam.
VNA/CVN