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| Hoàng Binh Quân, chef du Comité des relations extérieures du CC du PCV. |
| Photo : VNA/CVN |
S'adressant aux médias le 23 janvier en marge du XIIe Congrès national du PCV qui se tient actuellement à Hanoi, M. Quân, qui est membre du CC du PCV (XIe mandat), a dit que la différence entre les parties impliquées dans les différends en Mer Orientale, y compris le Vietnam et la Chine, était une réalité.
Depuis plusieurs années, les pays concernés ont fait des efforts pour résoudre ce problème par des fondements juridiques, historiques et par le droit international, notamment la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer de 1982 et la Déclaration sur la conduite des parties en Mer Orientale, pour atteindre au plus tôt un code de conduite en Mer Orientale.
Le Vietnam dispose suffisamment de preuves juridiques pour confirmer sa souveraineté sur Hoàng Sa (Paracels) et Truong Sa (Spratly). Cependant, il persiste toujours dans le traitement de la question par des moyens pacifiques sur la base du droit international afin d'assurer la stabilité et le développement de la région, a-t-il déclaré.
Le Vietnam s'oppose à l'utilisation de la force ou à la menace d'y recourir et appelle les pays, y compris la Chine, à respecter le droit international et à tenir compte des intérêts légitimes des pays riverains dans le traitement de la question, a-t-il ajouté.
Cet officiel a également souligné l'importance de la voix de la communauté internationale, car celle-ci reflète la responsabilité des pays envers la stabilité d'une région. La stabilité, la liberté et la sécurité de navigation maritime en Mer Orientale constituent non seulement l'intérêt des pays riverains, mais aussi de beaucoup d'autres dans le monde, a-t-il affirmé.
VNA/CVN