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Le patron du CIO Thomas Bach (au centre) s'adressant à la 133e session de l'organisation à Buenos Aires, le 9 octobre. |
Photo: AFP/VNA/CVN |
La candidature de la ville turque d'Erzurum avait été écartée la semaine dernière par la commission exécutive du CIO, pour des raisons "techniques". Plusieurs villes un temps intéressées ont finalement renoncé, faute de soutien populaire, comme Sion (Suisse) et Schladming/Graz (Autriche).
Cette liste de trois candidatures pourrait encore se réduire, un référendum à l'issue incertaine étant prévu le 13 novembre à Calgary. Le CIO fait globalement face à une raréfaction des candidatures pour les JO d'hiver alors que les énormes dépenses pour l'organisation des JO de Sotchi en 2014 ont refroidi les ambitions.
Ainsi, en 2015, Pékin n'avait qu'un seul rival, Almaty (Kazakhstan), lorsque la capitale chinoise à hérité des JO d'hiver-2022. Tour à tour, Stockholm, Cracovie (Pologne), Lviv (Ukraine) et Oslo s'étaient retirées.
La ville hôte des JO d'hiver 2026 devait à l'origine être choisie lors d'une session en septembre 2019 à Milan.
Mais la charte olympique prévoit qu'une session ne peut se tenir dans une ville candidate pour un tel vote. La 134e session du CIO se déroulera donc à Lausanne, autour du 23 juin 2019, pour coïncider avec l'inauguration du nouveau siège du CIO.
AFP/VNA/CVN