>>Un homme condamné à Binh Duong pour propagande contre l’État
Trân Công Khai au Tribunal populaire de Hô Chi Minh-Ville, le 27 juin. |
Photo: Thành Chung/VNA/CVN |
Trân Công Khai, né en 1963, domicilié au 3e arrondissement, à Hô Chi Minh-Ville, a été condamné à huit ans de prison ferme, ce pour avoir mené des actes destinés à renverser l’administration populaire.
Le conseil de jugement a déclaré que l’acte de l'accusé Trân Công Khai était particulièrement grave et dangereux pour la société, violant directement l'existence et la force de l’administration populaire et de la République socialiste du Vietnam. Trân Công Khai a servi comme avocat et notaire public, montrant que l'accusé était une personne qui connaissait le droit, tout en connaissant le but de l'organisation terroriste "Gouvernement national provisoire du Vietnam", cependant l’accusé y a participé.
Lors du procès, Trân Công Khai a reconnu ses actes criminels. En raison de ces activités graves contre l’État, le conseil de jugement a condamné l'accusé à une peine sévère.
L'organisation "Gouvernement national provisoire du Vietnam" a été désignée par le ministère de la Sécurité publique comme une organisation terroriste, en se basant sur les lois vietnamiennes et internationales. Bien que le ministère de la Sécurité publique ait clairement informé des dirigeants, des actes, des ruses et des activités terroristes de cette organisation contre la République socialiste du Vietnam, de nombreux éléments mauvais entrent souvent en contact avec de mauvaises informations sur les réseaux sociaux, internet. Ils y participent donc après avoir été traînées.
Dans cette affaire, Trân Công Khai a été traîné par Kelly Triêu (Triêu Thanh Hoa, né en 1968, de nationalité américaine, membre clé du "Gouvernement national provisoire du Vietnam") pour participer à l'organisation. Il a été assigné la tâche de faire participer un "référendum" à de nombreuses personnes afin d'élire Dào Minh Quan à la présidence du Vietnam. Il s’est fait des amis avec Nguyên Doan Quang Viên, Lê Ngoc Hiên et Trân Thi Ngân Giang. Ils ont dressé une liste des nombreuses personnes participant au "référendum" puis l’envoyée à cette organisation. En outre, ces personnes envisageaient également de saboter la Conférence de l'APEC mais ne l'avaient pas encore mise en œuvre car Khai avait été découvert et arrêté par les forces de sécurité.
En ce qui concerne Viên, Hiên et Giang, le conseil de jugement a estimé que ces personnes avaient été embringuées par des mauvais éléments. Au cours du processus d'enquête, ces personnes avaient reconnu leurs actes erronés, la Police n’a pas poursuivi en justice et leur dossier sera transféré aux autorités locales pour la gestion et l'éducation.