Cérémonie de mise en oeuvre du plan de l’Année de la sécurité routière 2012, le 3 janvier à Hanoi. |
Le vice-Premier ministre Nguyên Xuân Phuc s’est félicité du plan d’actions de la capitale. Selon lui, malgré les efforts des autorités municipales, le problème du trafic et des accidents de la circulation est loin d’être réglé. De ce constat, le Parti et l’État ont défini l’Année de la sécurité routière - 2012 comme une année clé pour mettre de l’ordre au niveau de la circulation. Ce qui passe par un meilleur respect du Code de la route de la part des usagers au niveau national, ainsi que par la lutte contre les embouteillages dans les grandes villes au moyen de mesures drastiques.
Le vice-Premier ministre Nguyên Xuân Phuc a demandé aux différents échelons, branches de renforcer les activités pédagogiques afin que les habitants soient davantage conscients de la nécessité de respecter les règles de sécurité routière. Dispenser ces activités relève de la responsabilité de chaque école, mais également de chaque famille. En parallèle, Il faut renforcer les contrôles et alourdir les sanctions en cas d’infraction(s) au Code de la route. «En premier lieu, les forces de police doivent appliquer à la lettre ce qui leur a été demandé dans le maintien de la sécurité routière», a souligné Nguyên Xuân Phuc.
Le vice-Premier ministre souhaite voir la capitale être devenue le porte-drapeau dans l’Année de la sécurité routière 2012 - année charnière pour que la sécurité routière soit enfin l’affaire de tous et pour lutter contre les embouteillages dans les grandes villes.
En écho à l’Année de la sécurité routière 2012, le président du Comité populaire de Hanoi, Nguyên Thê Thao, a fait savoir que l’objectif de la ville est de diminuer d’au moins 10% le nombre d’accidents, de morts et de blessés, et de 20% le nombre d’embouteillages...
Afin d’y parvenir, Nguyên Thê Thao a demandé aux échelons, branches de considérer la sécurité routière et la lutte contre les embouteillages comme une des tâches politiques principales de l’année 2012. Le Service municipal des transports et de la communication doit renforcer la gestion étatique dans ce domaine et coopérer avec la police municipale pour renforcer les contrôles au niveau des points «noirs» de circulation. Le Front de
Dans l’immédiat, la police de la ville renforce jusqu’après le Têt traditionnel les inspections et contrôles, avec des sanctions plus lourdes en cas d’infraction(s) au Code de la route.