>>L’UE appelée à renforcer sa présence en Mer Orientale
>>Mer Orientale : un secrétaire d’État adjoint américain condamne
Le vice-président américain Mike Pence. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
John C. Aquilino a souligné que de nombreux pays de la région soutenant la liberté de navigation dans cette zone maritime, dont les États-Unis, critiquaient les actions de Chine.
Auparavant, dans son discours présenté sur les relations américano-chinois le 24 octobre à Woodrow Wilson International Center for Scholars à Washington, le vice-président américain Mike Pence a de nouveau critiqué les violations du droit international par Pékin en Mer Orientale, dont les actions empêchant les activités pétrolières légales dans la zone économique exclusive (ZEE) du Vietnam et de certains d’autres pays côtiers dans la région.
Le 17 octobre, David Stilwell, secrétaire d'État adjoint aux Affaires de l'Asie de l'Est et du Pacifique, lors d'une audition sur l’application de la Loi sur l'Initiative de réassurance de l'Asie (Asia Reassurance Initiative Act-ARIA), a également évoqué la sécurité de la navigation maritime, dont la situation en Mer Orientale.
M. Stilwell a souligné que les revendications de souveraineté de la Chine sur la prétendue "la ligne en neuf traits" en Mer Orientale sont illégales et absurdes. Ces déclarations n’ont aucune valeur juridique, historique ou géographique, nuisant à d’autres pays. Les provocations répétées par Pékin empêchent les pays membres de l'ASEAN d'accéder aux réserves d'énergie de cette zone maritime, ce qui provoque l'instabilité et augmente le risque de conflit dans la région.