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"J’adore les couleurs vives des rues à l’approche du Têt", s’est exclamée la Finlandaise Sofia Kukkonen, qui travaille au Centre des expositions artistiques Vinspace à Hô Chi Minh-Ville. Cette artiste installée dans la mégapole du Sud accueille pour la première fois le Têt au Vietnam.
Des gens adorent acheter un pot de fleurs d'abricotiers pour le Têt. |
Photo : VNA/CVN |
Lors des jours précédents le Têt, elle se promène avec ses amis dans les rues parées de pêchers, de kumquats. Impressionnée par les scènes de gens s’empressant de faire des courses pour préparer le Têt, elle a l’impression de vivre à son pays natal. Elle a aussi révélé qu'elle irait chez un ami vietnamien pour vivre pleinement l’ambiance du Têt. Ce sera une source d'inspiration pour ses prochaines œuvres artistiques, a révélé la peintre.
Pour Luke Basford, venu du Royaume-Uni, va allé sur l’île de Phu Quôc pour avoir des expériences différentes de l’ambiance du Têt, après ses deux premiers Têt à Hanoi et Ho Chi Minh-Ville. L’ambiance du Têt est magnifique, a insisté l’enseignant Luke Basford. Ce jeune homme britannique a aussi dégusté des plats typiques du Têt avec des odeurs et goûts uniques. Pour ce Têt, "je souhaite admirer de beaux paysages de Phu Quoc et déguster des plats originaux".
Quant à l’Australien Bobby Webber, enseignant d’anglais à Hanoi, il adore déguster des spécialités culinaires du Têt, notamment le banh chung. Habitué au Têt des Vietnamiens depuis 3 ans, il a préparé de petites enveloppes pour offrir à des personnes âgées et des enfants. C’est une belle coutume pour manifester le respect envers les personnes âgées et l’affection pour les enfants. C'est pourquoi il faut la préserver, a remarqué cet Australien. Le Têt est une fête sacrée qui relie tous les Vietnamiens, où qu'ils vivent dans le monde.