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Des piétons portent le masque de protection contre le COVID-19 dans une rue de Tokyo, le 27 janvier. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
Ces changements entreront en vigueur début mai. Le COVID-19 sera alors classifié dans la même catégorie que la grippe, au lieu de l'actuelle où il côtoie la tuberculose et le SRAS.
"Concernant le port du masque, que ce soit à l'intérieur ou à l'extérieur, la décision sera laissée aux individus", a déclaré M. Kishida lors d'une réunion gouvernementale télévisée.
"Nous prendrons d'autres décisions concernant la +vie avec le coronavirus+ et retournerons progressivement à la normale dans les foyers, les écoles, les entreprises, les quartiers et tous les aspects de la vie", a-t-il ajouté.
Les masques sont omniprésents dans les lieux publics et sont fréquemment portés à l'extérieur également, même si le gouvernement a déjà dit par le passé qu'ils n'étaient plus nécessaires en plein air lorsqu'il n'y a pas foule.
Avant même le début de la pandémie de COVID-19 en 2020, nombre de Japonais portaient des masques lorsqu'ils étaient enrhumés ou pour repousser les virus en hiver.
Des sondages de grands médias montrent que la majorité de la population continuera à porter un masque, pour des raisons de santé publique, même après la levée de la recommandation du gouvernement.
Ces changements font qu'à partir du 8 mai, après la "semaine dorée", une période de vacances, les malades du COVID-19 et leurs proches n'auront plus besoin de s'isoler.
La République de Corée prévoit aussi de lever lundi 23 janvier son obligation de porter le masque en intérieur.
Quant à la Chine, elle a abandonné sa stricte politique "zéro COVID" le mois dernier. Une vague de COVID-19 a depuis déferlé sur le pays.
AFP/VNA/CVN