>>Binh Phuoc développe les indications géographiques de la noix de cajou
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| La Côte d'Ivoire souhaite coopérer avec Binh Phuoc pour améliorer les variétés d’anacarde et étudier de nouvelles techniques agricoles. |
| Photo : Dinh Huê/VNA/CVN |
Lors d'une séance de travail entre le vice-président du Comité populaire provincial de Binh Phuoc, Trân Ngoc Trai, et une mission de travail du CCA de la Côte d’Ivoire, le 22 février au chef-lieu de Dông Xoài, les deux parties ont discuté de questions concernant la culture et la commercialisation de la noix de cajou brute.
D’après Bassifou Ouattara, administrateur du CCA, la Côte d'Ivoire produit environ 700.000 tonnes de noix de cajou brute par an, mais sa productivité annuelle moyenne se situe d'entre seulement 400 et 700 kg par ha.
Comme la productivité de la noix de cajou de Binh Phuoc est élevée, la Côte d'Ivoire souhaite coopérer avec cette localité vietnamienne pour améliorer les variétés d’anacarde et étudier de nouvelles techniques agricoles.
Selon Trân Ngoc Trai, ce sont les conditions climatiques et facteurs édaphiques, ainsi que les variétés, qui conditionnent la productivité de la noix de cajou.
Soulignant la grande capacité des usines de transformation de noix de cajou de Binh Phuoc, le vice-président du Comité populaire de cette dernière s’est engagé à soutenir les entreprises locales dans le développement de relations internationales.
Il a suggéré au CCA de travailler avec l'Association provinciale de la noix de cajou pour faciliter l'exportation directe de noix de cajou brute de la Côte d'Ivoire au Vietnam.
Actuellement, Binh Phuoc recense plus 134.000 hectares d’anacardiers qui produisent 190.000 tonnes de noix par an, avec une productivité moyenne de 1,4 tonne par hectare.
VNA/CVN