>> Gaza : les enfants de moins de 5 ans "risquent de mourir de faim", avertit l'UNICEF
>> Gaza continue de compter ses morts, Biden parle avec Netanyahu
>> Les présidents égyptien et iranien discutent par téléphone
 |
| Bethléem en Cisjordanie, le 24 décembre. |
| Photo : AFP/VNA/CVN |
Le maire de Bethléem, Hanna Hanania, a expliqué à Xinhua que cette année, Noël était différent des précédents, car les fêtes étaient marquées par une atmosphère de tristesse, dans le contexte du conflit entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza et de la fermeture généralisée des villes de Cisjordanie sous siège israélien.
M. Hanania s'est dit attristé par la situation des Palestiniens à Gaza, où les familles se déplacent d'un endroit à l'autre avec leurs enfants en quête d'un abri sûr "même s'il n'y en a pas".
Il a souligné que les années précédentes, Bethléem attirait environ 1,5 million de touristes et de pèlerins par an en provenance du monde entier. En revanche, ce Noël a été totalement dépourvu de tourisme depuis le début du conflit à Gaza le 7 octobre.
Le secteur touristique palestinien devrait enregistrer une perte de 200 millions d'USD d'ici à la fin de l'année à cause de l'impact des attaques israéliennes contre Gaza, selon la ministre palestinienne du Tourisme et des Antiquités, Rula Maayah.
Xinhua/VNA/CVN
