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La biodiversité abondante mise en péril face aux changements climatiques. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
L'assemblée du Fonds (Global Environment Facility) réunira du 22 au 26 août, des ministres, des responsables gouvernementaux, des chefs d'entreprise, des militants écologistes, des dirigeants d'agences internationales et de conventions environnementales ainsi que des représentants de jeunes, de la société civile et des peuples autochtones.
"La perte de la nature et le changement climatique ne sont pas des soucis pour l'avenir. Ce sont des réalités d'aujourd'hui qui seront à l'esprit de chaque personne alors que nous nous réunissons au Canada, où les incendies de forêt de cet été ont brûlé des forêts couvrant une superficie deux fois plus grande que mon pays", a déclaré le président du FEM, Carlos Manuel Rodriguez, qui est ancien ministre de l'Environnement et de l'énergie du Costa Rica. Ce conclave se tient à un moment où le monde fait face à des températures terrestres et océaniques record, des incendies de forêt incontrôlables et des inondations meurtrières.
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a mis en garde récemment contre le passage à une "ère de l'ébullition mondiale" après celle du réchauffement climatique. Selon ses organisateurs, la 7e assemblée du FEM entend établir un état des lieux des objectifs de 2030 visant à mettre fin à la pollution et à la perte de la nature, à lutter contre le changement climatique et à promouvoir une conservation inclusive de la biodiversité.
APS/VNA/CVN