Rideau de perles d’eau, tiédeur de l’alizé
Félicité heureuse où tout n’est que beauté.
Ilots calcaires plongés dans l’Eden éternel
Sérénité, splendeur, parfum subtil de l’aube
Jonque lisse qui glisse sous le miroir du ciel
Dernier rêve accroché aux premières lueurs.
Laisse aller tout mon être dans cette baie d’amour
Donne un baiser de paix à l’aquilon fragile
Respire avec délice au silence toujours
Et rends grâce de goûter cet indicible Paradis.
Christine Hoa Sim/CVN