Peuplés par seulement quelques centaines de familles, ils vivent surtout de l’agriculture et de la canne à sucre. La plupart de leurs habitants appartiennent à l’ethnie Nùng, même si on les distingue peu des autres minorités, dans la mesure où rares sont ceux qui portent encore l’habit traditionnel. Le niveau de vie s’est bien amélioré depuis quelques années, et si la grande majorité des maisons étaient auparavant sur pilotis, elles sont maintenant de plus en plus nombreuses à être construites en dur. De même, la nourriture s’est diversifiée, et est aujourd’hui plus riche en protéines.
Texte et photos : Eloïse Levesque/CVN